Dimanche soir il a enfin plu. Une pluie fine et bienfaisante. Mais revers de la médaille, et comme d’habitude, rues, routes, autoroutes, voies ferrées sont inondées et impraticables. Si,pour les infrastructures routières la solution consiste à détourner la circulation vers d’autres circuits, pour les voies ferrées, la solution est toute trouvée : arrêter la circulation. Quant aux voyageurs, ils n’ont qu’à se débrouiller. C’est ce qui se passe toujours. Sauf que, hier au matin, les trains —contrairement à l’habitude— ont continué à circuler sur la partie inondée (à peu près 200 m). Les rails —bien que noyés— sont toujours là. Il suffit de rouler au ralenti. C’est aussi simple que cela. Mais cela n’empêche que cette situation se reproduit chaque année sans que cela n’émeuve personne comme si cela était naturel. Il doit bien y avoir des solutions pour résoudre ces problèmes une fois pour toutes. Il suffit de s’y mettre.